Présent depuis plus d’une dizaine d’année en France, le chemsex concernerait 30% des HSH (Hommes ayant des rapports sexuels avec les Hommes). Malgré sa présence marquée, cette pratique s’étend silencieusement, notamment dans la communauté LGBTI. Le chemsex se situe à l’intersection de plusieurs enjeux, tels que les problématiques liées à la solitude, au stress minoritaire et l’émergence de nouveaux produits de synthèse.
L’objectif de cette formation est de fournir aux professionnels des connaissances sur la culture du chemsex, ses pratiques et les substances fréquemment consommées, afin d’améliorer l’accompagnement et l’orientation des personnes concernées dans le système de soins.